Politicienne iranienne, Maryam Radjavi a dirigé le conseil national de la résistance iranienne depuis de nombreuses années. Elle est contre le régime républicain de l’Iran. Cet acteur politique est aussi est un vrai défenseur des droits de l’Homme. Plusieurs politiciens des pays européens et américains ont sollicité une entrevue avec Maryam Radjavi pour des échanges d’idées.
Une présidente qui se soucie du droit des femmes
Le Conseil National de la Résistance Iranienne (CRNI) a choisit Maryam Rajavi comme présidente de la République en 1993, période à laquelle le pouvoir était remis au peuple iranien. Notant que cet assemblée comprend plusieurs partisans de l’opposition. Cet acteur politique a permis aux femmes iraniennes de se développer. En effet, la gent féminine de l’Iran a pu tenir des postes importants au niveau de la résistance. D’ailleurs, plus de la moitié des membres étaient des femmes. Ces dernières se sont réparties dans plusieurs branches (culturelle, sociale, politique…).
Dans de nombreux discours, Maryam Radjavi ne cessaient d’envoyer des messages clairs en contradiction avec l’action des mollahs. Elle mettait toujours l’accent sur la démocratie et la tolérance. Cette politicienne soulignait surtout le droit des femmes et l’islam.
Durant son discours, en 1994, Radjavi a pointé sur l’oppression religieuse qui pesait sur les femmes iraniennes. Elle a aussi évoqué l’intégrisme islamiste qui touchait de nombreuses Iraniennes, notamment celles qui résidaient dans la capitale. Selon son idéologie, les femmes iraniennes devraient être respectées et être mises à pied d’égalité avec les hommes. Elles seraient sources de paix et de croissance au niveau du pays. Pour plus d’infos sur Maryam Radjavi, rendez vous sur le site www.maryam-rajavi.com.
Maryam Radjavi mène une campagne internationale
Lors d’une campagne internationale qu’elle a menée, en faveur de la résistance iranienne, Maryam Radjavi a évoqué l’implication du droit de l’Homme. À cette occasion, elle a publié des déclarations provenant de plusieurs organismes membres des Nations Unies et de nombreux pays. En conséquence, l’adoption d’une résolution a été rendue effective en 2016 lors d’un congrès. Celui-ci visait à garantir la sécurité des résidants du camp Liberty. Grâce à cela, un transfert officiel de l’Irak vers l’Albanie a eu lieu en septembre 2016. En ce sens, les mauvais plans des mollahs visant à détruire l’Organisation des Moudjahiddines du Peuple Iranien (OMPI) au camp Liberty en Irak ont été maitrisés.
La même année, Maryam Radjavi annonce la fondation du mouvement pour la justice en faveur des victimes du massacre de 1988. Ce dernier présentait plusieurs demandes, dont la punition de tous les responsables du massacre, l’identification du lieu d’inhumation et de l’identité des victimes. Notant que ce crime a été condamné par l’Iran et au niveau international. Parmi le châtiment extrême de cet acte figurait l’abolition de la peine de mort en Iran.
Biographie de Maryam Radjavi
Voici un bref aperçu sur la biographie de cet acteur politique. Née le 4 décembre 1953 à Téhéran, Maryam Radjavi est issue d’une famille de la classe moyenne. Elle a suivi une formation supérieure en Ingénieur métallurgique à l’Université de technologie de Sharif. De 1973 à 1979, ce personnage était responsable au niveau du mouvement contre le régime du chah affilié à l’OMPI. De 1979 à 1981, elle devient responsable du département social de l’OMPI. En 1980, Radjavi fait partie des candidats aux législatives. De 1985 à 1989, elle devient codirigeante de l’OMPI. De 1989 à 1993, la politicienne devient secrétaire générale de l’OMPI. Enfin, depuis 1993, elle est présidente du CNRI.
À travers ses parcours et l’idéologie qu’elle mène, on peut réaliser que Maryam Radjavi a fait preuve de plusieurs échelons. Elle n’a cessé de défendre les droits de l’homme, notamment ceux des femmes et de rendre justice aux victimes d’actes malsains.